Le nombre de postes sera connu un peu plus tard, probablement entre décembre et février. Le SNAPS demande régulièrement à la DGRH que tous les postes identifiés vacants, ou occupés par des contractuels, ou qui seront vacants suite à des départs en retraite ou mutations externes, soient ouverts au concours.

Cette année, 40 PS ont été recrutés et 11 détachements entrants sont arrivés. Malgré ces 51 nouveaux collègues, nous avons pu voir passer sur la PEP au moins une trentaine de postes de PS durant cet été. C'est le signe que la DGRH avait sous-estimé le nombre de postes vacants, malgré nos multiples alertes. L'administration a reconnu ce décalage dans plusieurs réunions récentes. Les recteurs devront avoir recours aux contractuels pour combler ces postes encore vacants après les avoir proposés au mouvement, ou pour combler ceux libérés suite à ce mouvement.

Il est essentiel que tous ces postes soient ouverts au concours 2022 pour éviter de reproduire l'erreur de 2021 et pour remplacer massivement les contractuels par des sortants de concours. Il y a la place pour recruter 70 PS en 2022. Mais les contractuels sont parfois préférés, car ils sont locaux, ils sont moins protégés par un statut, et ils sont moins payés. C'est évidemment inadmissible et nous ne cessons de le faire valoir dans toutes les instances.

Le combat continue !

Inscriptions du 17/10 au 19/11. N'hésitez pas à informer les candidats potentiels.

https://www.education.gouv.fr/les-concours-de-recrutement-de-professeurs-de-sport-308152

 

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De nombreux GT se mettent en place dans les académies et les établissements pour mettre en place une déclinaison du plan national d’action pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes du ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation.
Jusqu’au renouvellement général des instances en décembre 2022, les comités techniques restent compétents pour donner leur avis sur ces plans d’actions.

En application à la loi n°2019-828 du 6 août 2019 de transformation de la fonction publique, tout employeur public doit élaborer et mettre en œuvre un plan d'action « égalité professionnelle » qui est pluriannuelle et ne peut excéder trois ans renouvelables.

Le Plan National d’action pour l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes qui concerne le MENJS et le MESRI est disponible sur le site du ministère. Il est une ressource mobilisable, qui définit un cadre global et garantit une cohérence d’ensemble.
Ce plan est structuré en cinq axes et les académies formalisent leur propre plan d’action académique, adapté à leur contexte, aux enjeux territoriaux et dans le cadre du dialogue social local à partir de ce document.

Ils doivent contenir les actions suivantes :
•évaluer, prévenir et traiter les écarts de rémunération ;
•garantir leur égal accès aux corps, cadres d'emplois, grades et emplois ;
•favoriser l'articulation entre activité professionnelle et vie personnelle et familiale
•prévenir et traiter les discriminations, les actes de violence, de harcèlement moral ou sexuel ainsi que les agissements sexistes.

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Personne n'avait anticipé ce problème, ni la DGRH, ni les OS. 482€, c'est le 100% de nos indemnités de sujétion. En étant affecté au CREPS, c'est bien le chef d'établissement qui détermine le pourcentage des indemnités. Comme pour toutes les mutations, la possibilité existe que le nouveau chef de service n'accorde pas le même pourcentage d'indemnité que l'ancien.
 
Pour rappel le pourcentage des indemnités de sujétion est déterminé par le chef de service dans une fourchette de 80% à 120% du taux de référence et en fonction des sujétions liées aux missions confiées au PTP. Le chef de service apprécie l'importance de ces sujétions de façon discrétionnaire. Il n'y a pas de barème et il est seul juge. Et comme le contrat d'objectifs peut varier chaque année, rien ne garantit jamais que le niveau d'indemnité soit reconduit d'une année sur l'autre. D'ailleurs, même en conservant rigoureusement les mêmes missions d'une année sur l'autre, le directeur peut quand même baisser (ou augmenter) le pourcentage d'indemnités s'il estime qu'il y aura moins (ou plus) de déplacement, de travaux supplémentaires, d'horaires atypiques sur cette nouvelle année. On est donc à la merci du chef de service/chef d'établissement.
 
Il y a 2 protocoles d'accord (et même 3 si on compte celui de l'administration centrale) :
 
    1-celui sur le transfert des services déconcentrés (DRJSCS vers DRAJES et DDCS vers SDJES) qui prévoit le maintien du niveau des attributions indemnitaires (page 5, 2ème et 3ème paragraphes). Donc, dans les services déconcentrés, pas de soucis, le pourcentage est maintenu, au moins la première année, et en l'absence de changement de missions.
 
   2- celui sur le transfert de gestion RH des agents CREPS : il prévoit surtout la répartition des rôles entre les services de gestion RH rectorat et établissement, car cela n'était pas clair. En fait, les ex-DRJSCS assuraient une partie de la gestion RH pour le compte des CREPS, mais avec la fin des DRJSCS, plus personne ne réalisait ce travail. Il a fallu un protocole pour combler les trous dans la raquette et définir qui fait quoi. Malheureusement, ce protocole n'aborde pas la question des indemnités, car il ne traite pas des agents mutés dans les CREPS dans le cadre du transfert du haut-niveau. Donc on retombe dans le droit commun, là où le chef d'établissement a toute latitude pour déterminer lui-même le pourcentage d'indemnités de sujétions.
Avec l'arrivée des nouveaux CHNHP, les CREPS ont été dotés d'une enveloppe pour rémunérer ces agents. Cette enveloppe est calculée sur la base suivante : la rémunération indiciaire des agents concernés + le nb de PTP x 100% d'indemnités. Ce qui signifie que le chef d'établissement perçoit de quoi mettre tous les CHNHP à 100%, mais pas plus. Par conséquent, s'il veut passer un PTP à 120%, il doit en mettre un autre à 80%, ou deux à 90%, etc. Ou éventuellement puiser dans les fonds propres du CREPS, mais c'est un autre débat.
Pour terminer, il semble que les collègues ignorent trop souvent tous les impacts des mutations : si, avant de candidater, on n'a pas obtenu la confirmation du chef de service d'accueil du pourcentage d'indemnités qu'il entend nous attribuer, on peut s'attendre à de mauvaises surprises. A fortiori quand on était à plus de 100% dans son service d'origine.
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👍 Très belle journée en compagnie des stagiaires de la FPS au CREPS de Poitiers. De nombreux échanges, beaucoup de partage d'informations concrètes et d'expériences .

Merci aux collègues de l'intérêt porté au SNAPS et au CREPS pour l'accueil .

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